Lecture et compréhension du Coran

Mar 13, 2019 par

Prof. Dr. Hasan Kâmil Yılmaz

Comme on le sait, le mot Coran est celui que l’on a donné à la Parole de Dieu révélée à notre Prophète (pbsl) par l’intermédiaire de l’ange Gabriel (Jibril : sur lui la paix) consécutivement à plusieurs évènements qui eurent lieu durant les vingt-trois années de prophétie. La Parole de Dieu, recueillie par les scribes de la révélation et mémorisée par les compagnons à l’époque durant laquelle vécut notre Prophète (pbsl), fut conservée et compilée sous forme de Coran à l’époque d’Abû Bakr (que Dieu l’agrée). Au temps de ‘Uthmân (que Dieu l’agrée), cette Parole fut multipliée et envoyée à différentes contrées musulmanes, et c’est de cette manière qu’elle put conserver son écriture et son message originels. Le Coran devint alors sous protection divine. « Nous ne faisons descendre les anges qu’avec la vérité ; et alors, il ne leur sera pas accordé de répit (à ces impies). » (Al-Hijr, 15/9)

Le Coran souligne certaines caractéristiques qui lui sont spécifiques et que l’on pourrait appeler « les qualités du Coran dans sa propre langue écrite ».

1 – Le miracle du Coran : De par son contenu et son esprit, il est un miracle dont les hommes ne pourraient apporter d’équivalence ; il est une déclaration concise exprimant de nombreuses significations avec peu d’énonciations. En cela le Coran s’oppose aux hommes et aux génies : « Dis : “ Même si les hommes et les génies s’unissaient pour produire quelque chose de semblable, même s’ils se soutenaient les uns les autres”. » (al-Isra, 17/88) Tout au long de l’histoire, aucune puissance n’a pu changer l’ordre de la suprématie du Coran.

2 – Le Coran est guérison : Le sens du Coran est un remède contre les maladies et les troubles mentaux, jusqu’à redonner la santé aux gens victimes de troubles physiques en leur accordant la vitalité spirituelle de par son contenu et sa signification. Dans deux versets clairs, le Coran exprime son pouvoir de guérison en ces termes :

A – « Ô gens ! Une exhortation vous est venue de votre Seigneur, une guérison de ce qui est dans les poitrines, un guide et une miséricorde pour les croyants. » (Yunus, 10/57)

B – « Nous faisons descendre du Coran ce qui est une guérison et une miséricorde pour les croyants. Cependant, cela ne fait qu’accroître la perdition des injustes. » (al-Isra, 17/82)

3 – Le Coran est guidance : Venu de la part de Dieu, le Coran est un guide pour les croyants qui n’ont pas de doute et les détenteurs de taqwa (crainte révérencielle de Dieu). En effet nous lisons dans la deuxième sourate du Coran : « C’est le Livre au sujet duquel il n’y a aucun doute, c’est un guide pour les pieux qui croient à l’invisible et accomplissent la Salat et dépensent [dans l’obéissance à Allah] de ce que Nous leur avons attribué. » (al-Baqara, 2/ 2-3). Et dans la sourate Yunus le Coran est présenté comme : « un guide qui vient de votre Seigneur. » (Yunus, 10/57)

Les versets suivants : « Certes ce Coran guide vers ce qu’il y a de plus droit et il annonce aux croyants qui font de bonnes œuvres qu’ils auront une grande récompense » (al-Isra, 17/9 ; « Avant vous, certes, beaucoup d’évènements se sont passés. Or, parcourez la terre, et voyez ce qu’il est advenu de ceux qui traitaient les prophètes de menteurs » (al-Imran, 3/137), mettent en évidence, de par leur contenu, le pouvoir de guidance que le Coran détient. Étant donné que l’objectif du Coran consiste à sauver les hommes pour les amener de l’erreur à la guidance, de l’oppression à la lumière, il existe donc un nombre important de versets coraniques qui évoquent ce sujet.

4 – Le Coran est lumière et conduit les hommes à la lumière. En effet, comme stipulé dans le verset : « Une lumière et un Livre explicite vous sont certes venus d’Allah » (al-Maida, 5/15), la qualité lumineuse du Coran est exprimée dans les versets suivants : « (Voici) un livre que nous avons fait descendre sur toi, afin que – par la permission de leur Seigneur – tu fasses sortir les gens des ténèbres vers la lumière, sur la voie du Tout-Puissant, du Digne de louange » (Ibrahim, 14/1) et « C’est Lui qui fait descendre sur Son serviteur des versets clairs afin qu’il vous fasse sortir des ténèbres à la lumière ; et assurément Allah est compatissant envers vous et Très Miséricordieux. » (al-Hadid, 57/9) En effet, le Messager de Dieu (pbsl) a également dit : « Le Coran est une lumière manifeste, un dhikr apparent et un chemin bien droit. » (Dârîmi, Fadhâil’ul-Qur’an, 1 ; Muslim, Iman, 316 ; Fadhâil’ul-sahâba, 1)

Le Coran a réalisé la plus grande révolution de toute l’histoire de l’humanité. En effet, il fit émerger d’une société ignorante les leaders potentiels de l’humanité, octroya à celle-ci des valeurs humaines et fut le premier appel aux principes d’égalité et de liberté qui sonnent encore partout de nos jours.

En tant que source fondamentale de la vie islamique, le Coran a chargé les croyants d’un certain sens de la responsabilité et du devoir. À cet effet, les devoirs fondamentaux auxquels il nous interpelle peuvent être regroupés en cinq points :

1 – Croire que le Coran est une parole divine descendue de Dieu :

Le devoir capital de tout musulman découle de là, les autres points demeurent toujours complémentaires. Sans cette croyance, notre considération vis-à-vis du Coran ne peut être liée à la mesure que souhaiterait le Coran lui-même. En effet, ces versets coraniques soulignent également d’une manière verbale la qualité d’origine divine du Coran.

A – « Ô gens ! Certes une preuve évidente vous est venue de la part de votre Seigneur. Et Nous avons fait descendre vers vous une lumière éclatante. » (an-Nisa, 4/174)

B – « Ô gens ! Une exhortation vous est venue de votre Seigneur, une guérison de ce qui est dans les poitrines, un guide et une miséricorde pour les croyants. » (Yunus, 10/57)

Après avoir expliqué à travers ces paroles son origine divine, le Coran laisse les gens l’appréhender tout en défiant ses détracteurs en dépit de la force de ses détails. Celui qui croit qu’il (le Coran) est de Dieu sera respectueux de Sa parole et de son contenu. « Et c’est certainement un Coran noble, dans un Livre bien gardé que seuls les purifiés touchent ; c’est une révélation de la part du Seigneur de l’Univers. » (al-Waqia, 56/77-80) Le respect qu’Osman Gazi montra à son égard a occasionné la stabilité de sa génération sur six siècles.

II- Connaître et lire le Coran :

Le Coran est un livre qui entraîne les hommes aux œuvres pie à travers sa lecture. Pour cette raison essentielle, il est requis que son rattachement atteigne un certain niveau élevé de manière à pouvoir lire tout en se familiarisant avec son contenu. La prière fait partie du service adoratif qui rapproche le serviteur de son Seigneur. L’Envoyé de Dieu (pbsl) la louait en disant avec affirmation : « Elle est la lumière de mes yeux. » (Nasaî, Nisâ, 1 ; Musnad, III, 128-199) L’un des principes fondamentaux de la prière, c’est la lecture du Coran. Même si les autres obligations peuvent tomber consécutivement à quelques prétextes justificatifs, hormis les personnes sourdes, nul n’est exempté du devoir de réciter le Coran lors de la prière. Cela montre par conséquent l’importance de cette obligation. Le Coran, en encourageant le choix de versets qui semblent faciles à réciter lors de la prière, appelle par là à une proximité continuelle à son égard. En effet nous lisons dans le Coran : « Récitez-en donc ce qui [vous] sera possible. Accomplissez la Salat. » (al-Muzzammil, 73/20) ce verset, toujours attaché au même sens, incite à choisir les versets dont la lecture paraît plus aisé. De la même manière, ce verset nous informe du prix attaché relativement à une quelconque attitude de distanciation d’avec le Coran : « Quiconque s’en détourne (de ce Coran) portera au Jour de la Résurrection un fardeau. » (Taha, 20/100) Se détourner du Coran commence d’abord par une distanciation par rapport au livre lui-même puis avec la parole proprement dite. L’absence de lecture (ou de récitation) traduit le sentiment d’une non-familiarisation avec ce fait. Et cela se poursuit d’une manière ou d’une autre par la non-compréhension de son sens et la non-conformité à ses recommandations.

Le moyen utilisé pour se familiariser avec le Coran reste la connaissance que l’on peut en avoir. L’homme préalablement reconnait une chose et par la suite cultive un sentiment d’amour pour cette chose. S’il existe néanmoins le fait d’aimer avant de connaître, le mieux est de connaître d’abord et d’aimer ensuite.

Il existe beaucoup de hadiths qui encouragent la lecture du Coran et je voudrais, au regard de notre thème, en évoquer quelques-uns particulièrement significatifs :

A – « Le meilleur d’entre vous est celui qui a appris le Coran et l’a enseigné aux autres. » (Bukharî, Fadhâilu’l-Qur’an, 15 ; Ibn Mâja, Mukaddima, 16 ; Abû Dâwud, Witr, 15)

B – « Le Jour de la Résurrection, tous ceux qui auront appris le Coran et l’auront vécu seront revêtus d’une couronne faite de lumière. La lumière de cette couronne sera comme celle du soleil. » (Abû Dâwud, Witr, 14 ; Musnad, III, 440)

C – « Lisez le Coran car il viendra le Jour de la Résurrection comme intercesseur ( : ses lecteurs assidus). » (Muslim, Musâfirîn, 252)

D – « Eclairez vos maisons avec la prière et la lecture du Coran. » (Ibn Mâja, Iqâma, 186)

E – « Quiconque veut parler à Dieu, qu’il lise le Coran. » (Tahirû Bagdad, VIII, 239 ; Kenzu’l-ummâl, 2258 ; Mevsûa, I, 221)

F – « Substituez vos bruits avec le Coran. » (Bukharî, Tawhid, 252; Abû Dawûd, Witr, 20)

G – « La charité de celui qui lit le Coran à voix haute par rapport à celui qui le lit à voix basse ressemble à la charité acquittée discrètement par rapport à celle acquittée à la vue de tous. » (Tirmidhî, Sawabu’l-Qur’an, 20 ; Nasâi, Zakât, 68 ; Musnad, IV, 151-158)

Le Messager de Dieu (pbsl) a attentivement classifié en trois groupes ceux qui lisent le Coran :

1 – Ceux qui mémorisent le Coran :

  1. Ceux qui le mémorisent tout en connaissant sa signification,
  2. Ceux qui le lisent en se forçant.

2 – Ceux qui mémorisent de longues sourates du Coran.

3 – Ceux qui ne mémorisent que les sourates de prière.

Faire la connaissance du Coran à travers ses versets et les hadiths et le lire en toute fidélité à son message constituent une responsabilité qui nous incombe tout autant personnellement qu’à nos enfants. Au regard de cette réalité, nous sommes dans l’obligation d’éclairer la vie et le cœur de nos enfants avec le Coran. Même si les moyens permettant à nos enfants de rencontrer le Coran se trouvent limités, il est indispensable que chaque foyer soit transformé en « école du Coran » et que les enfants l’apprennent chez eux, lieu qui est d’ailleurs considéré comme leur première école et leur premier sanctuaire. Dans le cas où une telle possibilité n’est guère possible, d’autres moyens susceptibles d’orienter les personnes vers le Coran, en particulier les jeunes, doivent être trouvés.

Les travaux entrepris par le Ministère des Affaires Religieuses en Turquie, dans le cadre de cours organisés pendant l’été à l’attention des enfants ayant déjà reçu une base de huit années de scolarisation, restent l’une de ces opportunités les plus importantes. Je pense qu’avec l’établissement de centres d’éducation coranique, une zone pilote devrait être préalablement créée dans chaque ville. La raison en est qu’après l’apprentissage du Coran, nous aurons aussi d’autres responsabilités en rapport avec cela.

Il y a deux sujets importants liés à la problématique de la lecture du Coran et sur lesquels il est nécessaire de dire un mot.

Premièrement, en ce qui concerne l’utilisation d’une langue autre que l’arabe ou selon une expression célèbre : « N’est-il pas possible que nous accomplissions nos actes d’adoration en lisant le Coran dans notre langue maternelle ? » Ne serait-il pas mieux d’accomplir nos actes d’adoration en lisant un Coran dont nous comprenons le sens à la place d’un Coran dont le sens nous échappe ? L’universalisme du Coran contraint à un partage de langue commune. Cependant la lecture du Coran au cours de la prière est obligatoire selon le Droit musulman. À cela, il y a quatre conditions fondamentales pour que le Coran ait sa qualité de véritable Coran : 1) Qu’il soit exprimé en langue arabe. 2) Qu’il soit une parole divine. 3) Que sa révélation fût adressée au seul Prophète (pbsl). 4) Qu’il soit une lecture parvenue sous forme de message véridique.

Conformément à ces conditions, étant donné que toute autre traduction faite en une langue autre que l’arabe n’est pas acceptée, toute éventuelle adoration émanant de cette autre langue ne peut en aucun cas être reconnue comme authentique. À cet effet, un temps provisoire est cependant accordé aux personnes qui ont nouvellement embrassé l’islam. Se pose aussi la question de savoir si « le Coran peut être traduit en caractères latins ». Comme dans l’alphabet arabe il existe trois ou quatre voyelles proches qui n’ont pas totalement d’équivalence dans l’alphabet latin, de profondes confusions sont à même de se développer en conséquence. À cet égard, la lecture du Coran effectuée dans ses lettres traditionnelles est le plus beau et le plus rassurant des chemins. Il est nécessaire de le mémoriser en écoutant et en se faisant corriger auprès d’un spécialiste si nécessaire.

III Tenter de comprendre le sens et le message du Coran :

Le musulman qui se familiarise avec le Coran et qui apprend à le lire dans son alphabet d’origine doit aussi apprendre et comprendre ses conseils et ses sagesses. La raison en est que le Coran a été révélé pour qu’il soit compris et que son message soit connu, voire que la plus grande fonction qui avait été confiée au Prophète (pbsl) en tant qu’annonciateur était de permettre la bonne compréhension du Coran, comme stipulé dans le verset coranique suivant : « (Nous les avons envoyés) avec des preuves évidentes et des livres saints. Et vers toi, Nous avons fait descendre le Coran pour que tu exposes clairement aux gens ce qu’on a fait descendre pour eux et afin qu’ils réfléchissent. » (an-Nahl, 16/44)

Les versets coraniques suivants évoquent également la responsabilité et le devoir de comprendre le Coran et s’adressent à l’humanité en général et aux musulmans en particulier :

A – « Nous l’avons fait descendre, un Coran en [langue] arabe, afin que vous raisonniez. »

B – « Dis : “L’excédent de vos biens”. Ainsi Allah vous explique Ses versets afin que vous méditiez. » (al-Baqara, 2/219)

C – « Regarde comment Nous exposons Nos versets. Peut-être comprendront-ils ? » (al-An’âm, 6/65)

D – « Nous avons exposé les preuves pour ceux qui comprennent. » (al-An’âm, 6/98)

E – « Ainsi exposons-Nous les preuves pour des gens qui réfléchissent. » (Yunus, 10/24)

Pour comprendre le Coran, il faut étudier son commentaire (tafsir), percevoir les pratiques de la Sunna et s’informer de son application islamique. La lecture effectuée avec amour, l’étude du commentaire et le savoir relatif à la Sunna constituent le plus court chemin quant à ce travail effectif.

La maxime suivante, émise par ‘Uthmân, encourage tout rapport avec le Coran : « l’Amant ne se rassasie jamais de la parole de son Aimé. » Si la lecture du Coran est une lecture émanant de l’Aimé, accomplir Sa recommandation est un acte aussi important que de lire et de comprendre le Coran. Après avoir compris le Coran, il nous revient d’accomplir ce qu’il recommande, autrement dit le vivre pleinement.

IV – Vivre en musulman selon les conseils et les injonctions du Coran

Le Prophète (pbsl) est le modèle d’homme de ce beau monde que le Coran met à la disposition des gens (voir al-Ahzâb, 33/21). Il est fondamental de vivre selon les injonctions du Coran en accomplissant des actes de compassion et de bénédiction en conformité avec la méthode que le Prophète (pbsl) lui-même a adoptée. Tel ce verset coranique : « Et tu es certes d’une moralité éminente » (al-Qalam, 68/4) qui loue sa moralité et tel ‘A’ishâ qui, lorsqu’on lui posa la question de savoir quel était la moralité du Prophète (pbsl), répondit : « Le Coran était sa moralité » (Musnad, VI, 188), traduisant le fait qu’il fut lui-même un Coran vivant.

Dieu le Très-Haut souligne que les pratiques du Prophète (pbsl) doivent servir de modèle et que par conséquent la conformité à ses injonctions et interdits est indispensable et fondamental : « Prenez ce que le Messager vous donne ; et ce qu’il vous interdit, abstenez-vous en ; et craignez Allah car Allah est dur en punition. » (al-Hashr, 59/7)

Tout jugement dans la vie est traversé par une mise en application de ce modèle coranique parce qu’il est dit aux versets 44, 45 et 47 de la sourate al-Maida : « Ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers. »

Le Coran n’est ni un livre mort ni le livre des morts. De par sa pénétration et son message, il est un livre de vie.

Le Coran est un fleuve. Chacun en profite selon le récipient qu’il tient dans ses mains. Le Coran est une lumière solaire, chaque portion de terre en absorbe à la limite de ses fonctions d’absorption.

V – Propagation du message coranique à toute l’humanité

L’un des devoirs les plus importants qui incombent aux croyants est de présenter ces vérités à l’humanité. La protection du Coran est en réalité une question que Dieu Lui-même s’est chargée. En revanche, la propagation de son message à toute l’humanité est un devoir humain. De prime d’abord, Dieu le Très-Haut avait placé ce devoir sur les épaules de notre Prophète (pbsl) : « Et Nous n’avons fait descendre sur toi le Livre qu’afin que tu leur montres clairement le motif de leur dissension, de même qu’un guide et une miséricorde pour des gens croyants. » (an-Nahl, 16/64)

La mission d’explication, de récitation et de communication du Prophète (pbsl) après son départ ainsi que la responsabilité de poursuivre sa mission prophétique est revenue à sa communauté, savants (oulémas) et « ahl Allah ». À cet effet, les versets coraniques suivants s’avèrent déterminants quant à cette question : « Que soit issue de vous une communauté qui appelle au bien, ordonne le convenable et interdit le blâmable. Car ce sont eux qui réussiront. » (al-Imrân, 3/104) et : « Les croyants n’ont pas à quitter tous leurs foyers. Pourquoi de chaque clan quelques hommes ne viendraient-ils pas s’instruire dans la religion pour pouvoir à leur retour avertir leur peuple afin qu’ils soient sur leurs gardes. » (at-Tawba, 9/122)

De tout temps des gens ont émis des critiques envers le Coran, mais jamais ces derniers n’ont pu ombrager les vérités qu’il énonce parce que le soleil ne peut être crépi de boue. Cela ne peut en aucun cas porter préjudice au message éternel et universel du Coran parce que le monde tourne avant tout.

Quand le Coran est appréhendé par le prisme de son contenu, il est évident qu’il regorge de versets qui évoquent des sujets tels que la moralité et l’adoration, mais aussi des récits relatifs à la vie dans l’au-delà.

Articles liés

Tags

Partager

Exprimez-Vous